Dans sa « Tentative d’épuisement d’un lieu parisien », Georges Perec nous emmène dans « ce que l’on ne note généralement pas, ce qui ne se remarque pas, ce qui n’a pas d’importance : ce qui se passe quand il ne se passe rien, sinon du temps, des gens, des voitures et des nuages. « 

Et pourtant c’est bien dans cette dimension sensible de l’espace que se cache la VIE.

Un peu de poésie dans ce monde de brutes: ICI

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